Il est temps de découvrir la dix-septième case de notre calendrier de l’Avent 2019, avec la sélection du jour éditée par Glénat Comics.
Dark Crystal tome 1 | |
Glénat Comics 112 pages – 14.95€ Simon Spurrier |
Des années ont passé depuis que Jen et Kira sont devenus roi et reine de Thra. Corrompus par le pouvoir, ils ne ressentent plus les besoins du monde qu’ils ont autrefois contribué à sauver. Thurma, une jeune élémentaire de feu, est alors chargée de voler un morceau du Dark Crystal pour restaurer le pouvoir de son royaume. En chemin, elle se liera d’amitié avec le jeune Gelfling Kensho, ramenant accidentellement les Seksis et les Mystics. C’est le début d’une incroyable aventure…
Dark Crystal tome 2 | |
Glénat Comics 112 pages – 14.95€ Simon Spurrier / Phillip Kennedy Johnson |
Les pires craintes de Jen et Kira se sont réalisées : le Crystal a été brisé une fois de plus. Les terribles Skeksis sont de retour, prêts à récupérer leur tyrannique dominance sur le monde. Mais alors qu’une guerre s’engage entre eux et les Gelfing, Jen tente de retrouver les responsables de la destruction du Crystal. De leur côté, Thurma et Kensho, en fuite et livrés à eux-mêmes, doivent se serrer les coudes alors que leur voyage les mène aux contrées sauvages de Thra. De nombreuses menaces les attendent avant l’arrivée à Fireling, loin sous la surface de la planète.
Faisant suite au film de Jim Henson, cette histoire signée Simon Spurrier et Phillip Kennedy Johnson raconte une nouvelle quête autour du fameux cristal mais avec de nouveaux protagonistes. On retrouve cependant ceux du premier film, mais c’est bel et bien un nouveau duo qui est au centre de l’intrigue.
Ces deux premiers tomes – le troisième arrive en janvier 2020 – sont très intéressants et emmènent le lecteur dans une ambiance de fantasy particulièrement agréable. L’histoire a en plus l’avantage d’être accessible même sans avoir vu le film, ce qui est mon cas donc je peux vous assurer qu’on peut très bien en profiter dans ces conditions.
Côté graphisme, Kelly et Nichole Matthews livrent un travail remarquable qui est à la fois fidèle à l’univers du film mais sans non plus rester dans le carcan imposé par l’utilisation de marionnettes à l’époque.
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