Il est temps de découvrir la septième case de notre calendrier de l’Avent 2018, avec la sélection du jour éditée par Delcourt Comics.
Kill or be killed tome 1 | |
Delcourt Comics 128 pages – 16.50€ Ed Brubaker |
Après une tentative de suicide ratée, Dylan est sauvé par un démon, qui lui propose un marché. Il doit assassiner au moins un salopard par mois afin de gagner le droit de survivre. Et bien entendu, comme tout tueur, il va devoir pratiquer son premier assassinat, ce qui s’avère plus difficile que prévu… De plus, il se débat pour cacher ce secret qui met lentement sa vie en miette, ainsi que celle de ses proches.
Kill or be killed tome 2 | |
Delcourt Comics 168 pages – 16,50€ Ed Brubaker |
Brubaker et Phillips tapent de plus en plus fort avec ce 2e tome de leur tétralogie ! Notre justicier s’enfonce toujours un peu plus dans les ténèbres, tandis que les forces de police de New York commencent à réaliser qu’un type masqué s’en prend aux salopards de la ville. Entre thriller, polar et déconstruction d’un genre (celui des justiciers), cette série vous happe sans jamais vous lâcher.
Kill or be killed tome 3 | |
Delcourt Comics 128 pages – 16.50€ Ed Brubaker |
Brubaker et Phillips tapent de plus en plus fort avec ce 3e tome de leur tétralogie ! Notre justicier s’enfonce toujours un peu plus dans les ténèbres, tandis que les forces de police de New York commencent à réaliser qu’un type masqué s’en prend aux salopards de la ville. Ce thriller qui déconstruit le genre du polar vous happera sans jamais vous lâcher.
Ed Brubaker et Ed Philips constituent un duo créatif dont le talent n’est plus à démontrer, en particulier dans des atmosphères bien noires. Pour cette nouvelle série, ils partent d’un pitch original : un homme signe un pacte avec un démon le contraignant à tuer pour rester en vie… Mais est ce que tout ceci est bien vrai ? Le lecteur est constamment baladé par un auteur qui n’hésite pas à l’orienter vers une piste ou l’autre pour mieux ensuite la balayer juste après…et ça fonctionne très bien ! Graphiquement, c’est très réussi grâce au style toujours efficace de Sean Philips et à sa complicité avec Ed Brubaker.
Derniers commentaires