Voici maintenant la suite du bilan mensuel du mois de juillet, avec les parutions restantes du mois. Du bon avec la ligne Ultimate, et du moins bon avec X-Men Extra…
Ultimates 35
Suite d’Ultimate Power et Ultimate Vision. La première est toujours dans le même style, ça bastonne sec tout au long de l’épisode. Même si ça reste bon, je trouve que ça tire un peu en longueur et l’intrigue n’a pas évolué d’un pouce depuis le dernier épisode (malgré l’apparition du second Escadron), l’invité surprise n’est pas entré en action. C’est dommage, ça casse un peu le rythme. Quant à Ultimate Vision, ça reste toujours aussi bon et angoissant. A chaque fois qu’on pense que c’est fini, la situation dégénère de plus belle, vivement la fin !
Ultimate Spiderman 58
Suite et fin d’Ultimate Knights. Que dire, à part que c’est bon ? Le scénario fourmille de trouvailles, les dialogues sont bons et Bagley (qui quitte le titre après cet arc) est toujours aussi bon. Ultimate Spiderman est sans conteste une des meilleures séries Ultimate, dont la qualité est resté constante au cours des années (ou alors elle a monté pendant la saga du clone mais elle n’est jamais descendue). J’aime beaucoup le traitement particulier de Moon Knight, beaucoup plus intéressant que sa « vraie » version.
Ultimate X-Men 46
Fin de l’arc consacré aux Sentinelles. C’est pas mal du tout, ça reste classique mais efficace. La relecture des exploits des X-Men à la sauce Ultimate n’a pas toujours été bonne, mais ce mois-ci c’est très efficace. Bishop et Cable réussissent à être des personnages totalement différents de leurs versions « normales » tout en leur ressemblant physiquement, ce qui fait qu’on est sans cesse pris par surprise lors du déroulement des évènements. J’aime aussi bien le dessin qui est vraiment sympa. Quant aux évènements annoncés, ça promet !
X-Men Extra 69
Suite mais malheureusement pas fin des exploits des « Nouveaux » Fantastiques. A part le début de l’épisode qui est amusant, je me suis ennuyé ferme pendant la lecture de ce numéro. Je sais que je radote, mais la Panthère et Tornade n’ont rien à voir avec les FF. Même si l’auteur s’amuse à mettre en scène des anciens évènements de la vie des FF, la mayonnaise ne prend pas. Tornade est insipide (elle est même aussi pénible que dans les pires scénarios de Claremont) et T’Challa n’a pas la présence d’un Red Richards qui même s’il est moins fort physiquement (encore que…) arrive à irradier une grande assurance qu’il sait de toutes façons comment s’en sortir. A priori la fin n’est pas prévue pour tout de suite, et c’est tant mieux !
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