Au début du mois, je vous avais parlé de 52, et du bien que j’en pensais. J’ai fini par en achever la lecture, et comme promis je reviens vous en parler 🙂

Je reste en tout cas sur ma première impression, c’est une excellente série. Outre le fait que c’est intéressant de voir les « seconds couteaux » de l’univers DC se débrouiller sans les trois poids lourds, les différentes intrigues sont vraiment intéressantes, avec plus ou moins de points de convergence. De plus, la structure narrative de 52 est particulièrement bien fichue, tirant très bien parti de la publication hebdomadaire des épisodes. Il faut dire aussi que quand on voit dans les crédits des noms tels que Rucka, Morrison, Waid ou Johns on peut se douter que le récit ne sera pas mauvais.

Du côté du dessin, rien à redire, c’est vraiment très bon. Les différentes ambiances du récit (urbain, oriental, cosmique) sont toutes très bien rendues et la lecture est vraiment très agréable.

Petit plus très appréciable : même si la série en elle-même n’est pas super accessible (rien d’insurmontable mais à mon avis seuls les experts en DC – ce que je ne suis pas – connaissent tous les noms qui circulent dans ces 13 numéros), le reste des fascicules est un bon moyen de justement approfondir ses connaissances sur cet univers. Les premiers numéros contiennent en effet une mini-série où on explique en détails les tenants et aboutissants des deux crises (Crisis on Infinite Earths et Infinite Crisis) et donne des bases sur l’univers DC. Ensuite chaque numéro contient des petites fiches (2 pages chacunes) sur des personnages : origines, pouvoirs, on se croirait dans Strange Special Origines !

Vous l’aurez compris à la lecture de ce billet, j’ai vraiment été emballé par 52 et ne regrette nullement mon achat 🙂