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Astonishing X-Men 26 (juillet 2007)

Pour les fiches de lecture, je sépare en deux parties : un petit résumé de ce que je pense du magazine, sans aucune révélation. Pour l’article plus détaillé, donc susceptible de contenir des révélations sur l’épisode, il faudra cliquer sur le lien en bas de ce résumé.

Astonishing X Men 26

Astonishing X-Men : après les révélations très surprenantes qui ont déjà été faites on pouvait penser que ça allait se tasser. Et bien non, ça continue ! Encore un épisode passionnant avec son lot de surprises, de révélations et de questions. Le scénario et le dessin sont tous les deux excellents, faisant de cette série la meilleure série X actuelle.

Excalibur : Le bébé de Chris Claremont se porte largement mieux lorsque son créateur n’est pas aux commandes. Les péripéties de l’équipe dans le passé sont excellentes, et donnent vraiment envie d’en lire davantage. Le dessin, de très bonne qualité, n’est pas étranger au plaisir de lecture.

X Factor : Après la fin totalement inatendue de l’épisode précédent, il est maintenant temps de passer aux explications. D’autres révélations sur le passé d’un membre de l’équipe et sur Singularity sont également au programme. Peter David, comme à son habitude, nous livre un très bon scénario, illustré par un très bon dessin.

Exilés : La folle épopée des Exilés pour sauver la vie d’un des leurs se poursuit. Le rythme est soutenu, il y a de l’action et des surprises, la série a retrouvé sa vitesse de croisière.

Astonishing X-Men : l’épisode commence fort, avec l’accouchement de Kitty ! On se doute rapidement que l’on vit une projection mentale, quelqu’un cherchant à la manipuler utilise cette technique pour lui faire faire quelque chose dans le monde réel. Cette projection est assez cruelle, Kitty devant se séparer de son enfant sous prétexte qu’il est trop dangereux. Mais dans ses rêves comme dans la réalité Kitty n’est plus la gamine naïve que l’on connait depuis longtemps : c’est une vraie guerrière et elle le prouve. Finalement tout cela conduit à la faire sortir le contenu de cette mystérieuse boite, qui s’avère être l’hôte artificiel de Cassandra Nova. Cela amène encore d’autres questions : si Nova est encore enfermée dans sa limace, comment peut-elle être présente aux côtés des damnés ? Et c’est quoi cette histoire de « moitié » entre l’Emma des X-Men et l’Emma des damnés ? Là encore vivement les réponses. En parallèle à tout cela, on a encore droit aux tribulations de Logan « rajeuni », toujours aussi drôles (mais le regard qu’il lance après avoir reçu une canette de bière semble indiquer que la bête est de retour) et à l’histoire secondaire impliquant Brand, Ord et Danger (ces deux derniers s’introduisent dans l’école). Le final est en tout cas tout simplement stupéfiant : Scott, éveillé mais sans visière (et donc sans pouvoirs), a tiré sur l’Emma-Reine blanche et semble décidé à en découdre. Mr Glaçon va t-il se décoincer ? Vivement la suite ! Wheddon nous montre tout au long de son run qu’une histoire des X-Men n’a pas besoin d’être classique pour être bonne. En effet le ton employé est radicalement différent de ce dont on a l’habitude, et ça marche très bien. Le dessin, tout simplement excellent, sert parfaitement cette très bonne histoire.

Excalibur : On s’en doutait, maintenant c’est fait, Excalibur voyage dans le passé. L’équipe va donc recontrer le vrai Chevalier Noir (l’ancêtre du Chevalier contemporain) et même le Roi Arthur et Merlin (pas ceux de M6, les vrais). L’histoire est intéressante, et nettement moins lourde à digérer que lorsque c’est Chris Claremont qui est au scénario. Les dialogues sont sympathiques, et le final (bien qu’un peu téléphoné) donne envie de voir la suite. Cette histoire me fait un peu penser à l’aventure temporelle d’Iron Man & Fatalis à la même époque, comme quoi une bonne idée peut ensuite être réutilisée de façon différente. Les interactions entre les personnages sont assez bien vues, notamment le rapprochement entre Sage (nettement moins énervante que lorsqu’elle est dépeinte par Claremont) et Pete Wisdom. Le dessin est tout simplement superbe et sert parfaitement l’histoire.

X Factor : Avant d’expliquer ce qu’il s’est passé dans l’épisode précédent (Guido qui tue brutalement l’homme qu’il doit protéger), on commence par ajouter un mystère de plus en revisitant le passé de Madrox. Ce dernier, qu’on a toujours cru être un mutant, serait en fait une créature d’un type différent comme l’attestent ses pouvoirs manifestés dès l’adolescence. C’est Damian Tryp (chef de Singularity) qui aurait découvert Madrox le premier avant de lui faire tout oublier le concernant. C’est assez étrange car Madrox a été défini comme mutant à plusieurs reprises (sentinelles ou virus legacy) mais peut être que son espèce partage suffisamment de caractéristiques avec les mutants pour y être assimilée. Retour au présent avec l’explication (prévisible) du comportement de Guido : une hypnose assurée par Singularity, et il faudra une intervention de Vif Argent pour le calmer. Tout ça pour que l’équipe se retrouve (après une intrusion à la Mission Impossible) face à face avec un Damian Tryp vieux assurant qu’il doit sauver le monde. Je ne vois pas où Peter David veut en venir, mais dans l’intervalle ses histoires sont toujours aussi bonnes (et ses dialogues sont excellents) et je lui fais confiance pour nous avoir concocté d’autres surprises. Le dessin est également bon, bien meilleur qu’il ne l’a été quelques mois auparavant.

Exilés : Les Exilés continuent leur périple avec l’équipe de chasseurs de monstres. Ici une théorie fort intéressante est illustrée, divisant les monstres en deux catégories : ceux qui sont bénéfiques (fruit de la pollution, ils luttent contre elle) et ceux qui ne le sont pas (comme des cancers). Ca fait un peu penser aux séries japonaises des années 70 (Spectreman par exemple) et l’utilisation d’un mot japonais pour caractériser ces monstres n’est donc sûrement pas anodine. Pendant ce temps Deadpool revient d’entre les morts, et fête ça en tuant le Dr Strange (lui qui était si content de faire une autopsie). C’est surprenant, mais guère étonnant de la part de Deadpool version Arme X. Le scénario est vraiment bon, avec un Morph toujours aussi drôle et un rythme soutenu. Quant au dessin, il reste égal à lui même, très bon. Je suis ravi de voir que la série a retrouvé son souffle après avoir un peu cafouillé pendant quelques mois.

mdata

Franck – Fondateur et rédacteur en chef de Watchtower Comics. Tombé dans la marmite des comics quand il était petit, et n’a aucune intention d’en sortir. Lecteur éclectique : Marvel, DC, indé… Kryptonite : Les figurines de Baby Groot

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